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CARACTERE, imaginative, inspirée, courageuse, adorable, passionnée, naïve, sensible, crédule, dites folle, croyante, timide, cultivée, intéressée, créative, optimiste, franche, introvertie, soufre douleur favori des langues de vipère, réfléchie, soumise.
★ partie libre, puisqu'elle est libre, il n'y a pas de minimum de lignes à faire, ni de mots, elle est tout à fait optionnelle, et vous pourrez au pire la remplir plus tard si cela vous chante : en gros, mettez tous les trucs que vous désirez sur votre personnage et qui n'apparait pas dans les autres parties, pourquoi pas parler du physique, des goûts, de ses tics, tocs, phobies... bref vous avez un total champ libre!

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HISTOIRE „Vati... Was ist das?“ (Papa... Qu'est-ce que c'est ?) demanda Ornella en s'approchant doucement vers la père, assit devant la toile qu'il était certainement entrain de finaliser. „Oh... Ornella, mein schatz! Es ist das Land mit Kau und Pferd!“ (Oh... Ornella, mon trésor ! C'est la campagne, avec des vaches, des chevaux !) avait répondu son père tout en pivotant sur le tabouret sur lequel il était assit, un doux sourire sur les lèvres. „Wilst du die Leinwand unterschreiben?“ (Veux-tu signer la toile ?) avait-t-il demandé tout en montrant la toile du doigt. „Ja!“ (Oui !) s'était écriée la petite fille tout en allant devant la toile, poser sa main dans la peinture puis l'aplatir en bas à droite sous le regard amusé de son père. La petite brune se retourna ensuite vers son père, assez fière d'avoir apposer sa marque sur une œuvre si exceptionnelle. „Vati... Kannst du ein Pferd kaufen?“ (Papa... Peux-tu acheter un cheval ?) avait demandé Ornella tout en levant les yeux vers son père qui avait posé sa main sur l'épaule de sa fille. Lorsque celle-ci eu fini sa phrase, l'homme la prit dans ses bras avant de l'asseoir sur ses genoux. „Brauchst du ein Pferd Ornella?“ (As-tu besoin d'un cheval, Ornella ?) „Ja! Es ist ein schön Tier! ...Nein, ok.“ (Oui ! C'est un bel animal ! … Non, ok.) „Ein Pferd ist teuer... Es tut mir leid.“ (Un cheval, c'est cher. Je suis désolé.)avait conclut Franz alors que sa fille baissait la tête, honteuse d'avoir demandé à son père quelque chose de bien trop cher pour leurs petits revenus. Son père était peintre, c'était bel et bien sa profession et autant dire qu'il ne vendait pas des toiles tous les jours. Sa mère était puéricultrice et ne gagnait pas énormément non plus même si elle rentrait souvent chez elle très fatiguée. Autant dire qu'ils vivaient comme ils le pouvaient, achetaient seulement ce qu'il leur fallait pour vivre correctement. Ainsi, il n'y avait pas de télévision dans la petite maison dans laquelle Franz et Verena habitaient depuis plus de dix ans. Cette maison c'était celle d'une tante à Verena, elle n'avait aucune descendance et la maison était donc revenue à la mère de Verena qui eu la bonne idée de la léguer à sa fille. Et voilà, depuis plus de dix ans, il y avait cette décoration vieillotte sur les murs, les mêmes meubles anciens et ils n'avaient pas pensé l'espace d'une seconde à changer l'apparence de cette maison parce qu'ils n'en avaient pas les moyens et que ça n'était pas vital.